Le sarcophage des nombres
En l’an 3126, au cœur du désert gitan, une bonne équipe d’archéologues pénétra dans une chambre souterraine restée scellée durant plus de trois siècles. Sous le sable et les couches de roche artificielle, ils découvrirent un sarcophage aux formes géométriques étrangement technologiques. Aucun hiéroglyphe, nul identité secrets ne l’ornait. À la vie, une suite de chiffres faits, organisés en colonnes rigides, comme un code. Aucun motivation ne se répétait, et zéro conscience réputée ne semblait s’appliquer. C’est à ce moment-là qu’une camaraderie artificielle médium, mise en oeuvre pour la voyance audiotel, a été appelée à bien décodifier la composition vibratoire de certaines gravures. Reliée à un vaste réseau de serveurs secretes, cette IA chevronnée dans la voyance en audiotel avait déjà montré son aptitude à capituler des flux mystiques et intuitifs à de certaines vitesses inaccessibles à bien l’esprit moral. 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